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Connaissance contemporaine au sujet de Dieu, de l'Évolution, et de la signification de la vie.
Méthodologie du développement spirituel.

 
Le travail Scientifique dans la Médecine et Biologie
 

Comment Dieu Peut-Il Être Connu/Le travail Scientifique dans la Médecine et Biologie


Le travail Scientifique dans la Médecine et Biologie

La Préparation

J'ai commencé à acquérir les premières habitudes d'expérimentation scientifique à l'âge adolescent, en travaillant comme assistant de laboratoire chez mon premier sage mentor Gennady Shitchko. Alors, il a mené des recherches sur les chiens afin d’identifier l'influence de certains médicaments sur le travail du cœur, la pression artérielle et la respiration. Outre du lavage des planchers, je l'ai aidé dans ces expériences. Ce qui était important, est qu’il a fondé en moi l’un des principes les plus exceptionnels d’une recherche scientifique en coopération. Quand quelque chose n’a pas réussi, par exemple, fixer sur le corps du chien les détecteurs élaborés pour les gens, et l'écriture sur la bande des appareils enregistreurs n'allait pas, nous avons eu besoin de chercher de nouvelles solutions pendant l’expérimentation. Essentiellement, j’apportais des idées. Parfois mes propositions ne lui semblaient pas productives. Cependant, il n'a jamais objecté, ni discutait, ni me repoussait. Il a dit simplement et sagement: “Essaie-le!”

J'essayais, en construisant les nouveaux appareils et appliquant mes idées, il m’aidait. Parfois, tout ça marchait bien tout de suite, d’autres fois, les nouvelles décisions naissaient au cours de différentes tentatives qui ont conduit à la réussite.

Donc, la vérification des idées en travaillant (dans le cadre de l'expérience) est le meilleur critère de la vérité. Tester c'est beaucoup plus efficace que de philosopher.

Puis, quand M.Shitchko a été démuni à la « réduction de personnel » à cause de son honnêteté sans compromis, j'ai dû travailler dans un autre laboratoire médical — avec des pharmacologues. C’étaient les fameuses expériences avec le cholestérol sur des rats, grâce auxquelles l'anathème a été déclaré aux œufs de poule (comme le produit alimentaire): les gens souffrent de l’athérosclérose, en les mangeant.

À cette époque-là, les pauvres rats ont été nourris par mes mains avec de dizaines de grammes du chimiquement pur cholestérol dissous dans l'huile. Certainement, les « plaques » de cholestérol se formaient sur les parois vasculaires de ces animaux. En fait, si nous corrélons ces doses de cholestérol pur avec le poids du rat (200 grammes) et la quantité de cholestérol dans l'œuf de poule, basée sur le poids corporel d’un homme, alors la dose expérimentale de rat sera surestimée aux millions de fois! Autrement dit, toutes ces recherches étaient complètement incorrectes, et leurs conclusions, qui ont été répandus sur toute la planète, n'étaient qu'un mensonge scientifique!

En effet, le cholestérol est la substance dans le corps, grâce à laquelle toutes les hormones sexuelles sont formées, y compris celles féminines et masculines. Les œufs aussi fournissent l’organisme avec une excellente bioénergie. À cette cause, ils sont très favorables au travail spirituel sur les étapes initiales. Ils également fournissent (comme avec du lait) un ensemble complet d'acides aminés essentiels (composants constitutifs des protéines) au corps.

À vrai dire, ces années-là, je n’avais aucune idée ce que je faisais et j’accomplissais mécaniquement ce travail qui m'était assigné, devenant un complice involontaire de cet absurde scientifique…

Il faut chercher la raison de l'athérosclérose à l'autre. Je peux suggérer de tester cette hypothèse: les plaques de cholestérol se forment sur les parois des vaisseaux qui sont déjà affectés par des dépôts de sels d'acide urique (une des manifestations de la goutte — une maladie typique des personnes qui mangent de la viande — les corps des animaux tués).

… Dans les années d'école, j'ai eu l’occasion de travailler dans l’unité expéditionnaire zoologique de l'université. Mon devoir principal était d'attraper de petits rongeurs (souris, campagnols) et musaraignes, spécialement creuser des chausse-trappes, où les animaux échouaient, mais ils ne pouvaient plus en sortir. Puis j’ai autopsié leurs estomacs et j’ai enregistré tout ce que j’y avais trouvé: les restes de glands, d’organes des insectes, etc. Les milliers d'animaux périssaient pour rien, seulement dans le but de faire le rapport sur mon activité « scientifique ». Ils mouraient, en souffrance cruelle, à cause de la faim dans les pièges ou bien quand celle-là ne les tuait pas immédiatement, mais seulement a aplati et a resserré une certaine partie de leur corps. Je ne me souviens pas que j’aie ressenti de la compassion pour eux pendant ces années. J’ai fait cela parce qu’il s’agissait de « l’ordre », c’était « mon devoir ». Et la douleur intruse ne m'était pas encore connue. Il fallait souffrir moi-même afin de comprendre la douleur d’autrui, d’apprendre à compatir…

Maintenant quand les principes de gestion de nos destins de la part de Dieu m'ont été révélés, je peux répondre à toutes les personnes qui se demandent: « Pourquoi y a-t-il tant de douleur dans ma vie? » ou « Pourquoi souffre-je? » D’ailleurs, la réponse est tellement évidente pour vous, mes lecteurs: Dieu nous enseigne la compassion par rapport à la douleur d’autrui par le biais de notre propre douleur. Et nous ne nous l’affranchirons pas jusqu'à ce que nous nous excluions pour toujours, pour toute notre évolution personnelle ultérieure, la capacité de causer la souffrance aux autres vainement.

À l’université j’ai écrit le mémoire de diplôme sur le thème de l’écologie des castors. Pendant quelque mois je vivais avec eux dans les marais avec d’innombrables moustiques au bord d’une petite rivière et je recueillais le matériel.

Le superviseur scientifique m'a immédiatement annoncé son essentiel principe de relations avec les étudiants: ce sont eux qui doivent cavaler après lui et aller chercher son aide. Donc, le superviseur ne devrait pas se tourner autour d'eux et les forcer à travailler. Je n'ai pas eu de choix, il fallut travailler selon son principe. Cela m’a permis de poser en moi les fondements du savant, comme un stratège et tacticien, qui pense indépendamment et prend la responsabilité pour son travail du début jusqu’à la fin.

J’ai commencé le travail, en trouvant tout le matériel sur ce sujet. Ensuite, je voyageais sur la voiture et je marchais à travers de presque toutes les forêts de cette région pour découvrir où vivent les castors.

Qu'est-ce que je n'ai pas vu dans ces voyages! De nombreux corps des hommes et des femmes ivres, se vautrant dans la boue sur les chemins ruraux, j’ai eu besoin de les contourner avec peine… J’ai vu des bagarres d'ivrognes…

Des hommes qui poursuivent avec les haches leurs épouses… Des suicides, des meurtres… Une totale dégradation ivre du village!… Il n’y avait aucune jeunesse « en âge de procréer »…

Une telle scène m’est souvenue, je l’ai appelée 'L’amour à la russe'. Deux paysans ivres 'dansaient' l'un devant l’autre sur le chemin rustique. ‘Dansaient’ — parce qu’ils ne pouvaient ni se tenir debout ni marcher, leurs corps étaient incontrôlables. L’un a juré de l’amour à voix ivre à l’autre. Celui-ci fondait du bonheur, en se réjouissant les mots de son ami. Il se tenait debout à peine et annonçait pathétiquement:

« Jean, comment je t'aime! Jean! Tu es le plus cher, le plus aimé! Jean, notre amitié soit pour toujours! Jean, tu es mon ami, n'est-ce pas? Dis-le! Jean, pardonnes-moi, si tu peux!… Jean, peux-tu réaliser mon dernier rêve? Viens ici! Puis-je te donner un coup! Jean, mon cher et fidèle ami! Puis-je te donner un coup! Eh! Je ne peux pas le faire! M'aimes-tu? Viens ici!

Cependant, bien que Jean voulait aider le meilleur ami, il n'a ni objecté, ni fut parti — seulement il était dans un état un peu effrayant… Alors, ils ‘dansaient’ longtemps l’un devant l’autre jusqu'au moment quand ils soudainement tous les deux sont tombés et se sont endormis dans la boue…

Et au milieu de toute cette abjection et dégradation — même au fin fond, il y avait un contrôle rigide du KGB. Les habitants ont raconté comment leur villageois a décidé de commencer une vie indépendante. Il est parti, ayant disparu dans les bois, sans dire à personne. Il y construisit lui-même une cabane, il laboura un potager…

Lorsque des rumeurs concernant cela atteignirent l'administration du district de KGB, ils décidèrent de le trouver à l’aide des centaines agents de KGB et de la police! Ils le trouvèrent! Tout son ménage a été détruit, le « criminel » a été ramené au kolkhoze (collective ferme de l’Union Soviétique): « Regardez-le! Il a voulu être indépendant?! Il ne faut pas travailler pour soi-même, mais pour son pays, pour sa Patrie, pour l'État! »

Cet homme s'est pendu dans deux semaines… C'est permis!…

… Quand j'ai rapporté au superviseur les résultats de mon exploration de castor, il a montré du doigt sur la carte un des endroits les plus éloignés de la ville:

« Que plus loin des gens — cela il vaut mieux! »

C'étaient les marais le long d'une petite rivière forestière, environ 200 km de Saint-Pétersbourg. Cet endroit-là, j’avais besoin de vivre parmi les castors, les moustiques et d'autres êtres forestiers, parfois pendant quelques mois sans voir les gens. Je faisais mes observations des colonies de castors, leur activité quotidienne, j’étudiais ce qu'ils mangeaient à l'été et en hiver, je les photographiais. Un jour, j’ai échoué sous la glace en hiver, je me noyais dans le marais en été. Une nuit, l’orage a fait tomber un grand pin — son tronc est tombé exactement en travers de mon rideau de gaze couvert du polyéthylène. Pourtant, cette nuit-là, je n'y étais pas: je suis allé dans une autre colonie de castors et m’y suis endormi.

Il y avait tellement de moustiques dans ce lieu en été, c’est pourquoi je devais travailler pendant la chaleur sans enlever ma veste. Et parce qu’il n'y avait que des moustiques et de l'eau autour, il y avait très peu des endroits secs, je marchais dans l'eau dans tous mes vêtements, puis ils séchaient sur mon corps directement.

Une observation intéressante: puisque les castors sont des animaux nocturnes, je devais rester éveillé dans la nuit et dormir pendant la journée. Pour cela, ma vision était adaptée à voir dans l'obscurité: j'avais l'habitude de marcher librement dans mes marais pendant les nuits sombres, sans utiliser ma torche.

Je me souviens qu'après environ un mois et demi de ma vie stagnante dans le marécage, je rentrais chez moi dans la ville. D'abord, j'ai pris le camion, puis le bus, ensuite le métro. Je remarquais que les gens me regardaient bizarrement, puis ils s'éloignaient un peu… Et quand je suis arrivé à la maison et me suis regardé dans le miroir — j’ai pris peur parce que ma barbe était couverte d’une couche dense de l’enduit lequel rappelle de la moisissure. Une sorte de maladie! J’ai pris une paire de ciseaux, je voulais couper ma barbe! Puis j’ai compris et j’ai commencé à rire parce que c’étaient les restes de l’onguent anti-moustique dont j’avais appliqué!

En un mot, j'ai acquis l'expérience de vie énormément pendant ces années!

… Mon adversaire à la protection de mon mémoire de diplôme était le laborantin principal de la chaire. Il n’a jamais trouvé le temps de lire le contenu de mon travail. En effet, il aurait été nécessaire de dire quelque chose, il eut fait quelques commentaires absurdes. Au cours de ma parole à répondre, j'ai montré l'incohérence de chacun d'eux. Mon audace n'aimait pas au président de la Commission, il voulait baisser ma note. Seulement 'en raison de la quantité du travail’, ils ont décidé de l'évaluer comme 'excellent'.

… Un de mes camarades de faculté n’a passé que 4-5 jours pour recueillir du matériel pour son mémoire de licence. Il a flâné sur la plage de la Baie Finlandaise et a compté des mollusques de quatre ou cinq espèces laissés sur le sable après la marée basse. Il a également défendu son travail, mais avec une note basse. Il a aussi obtenu le diplôme universitaire…

Alors, à cette période-là, j’ai appris beaucoup, grâce à quoi, c’était ma base en tant que le savant. Cet étudiant n’a rien appris.

En particulier, j'ai acquis l’expérience comment me nourrir dans une grande mesure au dépens de bois. On peut manger les herbes comestibles directement cru, on peut les sécher, en approvisionnant pour l'hiver afin de faire les soupes, tisanes, suppléments vitaminiques pour d'autres plats, ainsi que les plantes médicinales, le miel de la préparation personnelle fait des fleurs des pissenlits, de la spirée ou du putiet, la confiture des baies forestières et, notamment, les champignons — tout cela permettait de me nourrir sainement toute l'année et dépenser le minimum d'argent pour l’alimentation.

Par la suite, ces approvisionnements forestiers m’a permis de survivre dans ce corps ainsi que pendant les années suivantes des persécutions politiques, et quand le gang qui a été formé par une de mes anciens élèves, m’a transformé en l’invalide pour une longue période…

La plupart des gens savent que la nourriture est juste ce qui est vendu dans les magasins. Ils sont prêts, ‘marchant sur la nourriture’ avec leurs pieds, de souffrir de faim, presque en mourant. Mais en effet, sous leurs pieds… grandissent l’herbe aegopode, l'ortie et beaucoup d’autres plantes sauvages, à l’aide desquels on pourrait se nourrir toute l’année, jusqu'au printemps prochain!

De plus, on peut être guéri avec ceux-ci! La même ortie (fraîche ou séchée) est un remède incroyable pour de nombreuses maladies!

Il est intéressant d’explorer l’aegopode, y compris du point de vue du traitement du cancer (dans ce dernier cas, comme le mono-régime pendant plusieurs mois).

Et certainement, les champignons! Depuis du mai jusqu’au juin (par exemple, les mousserons) — et jusqu'au décembre (les pleurotes et les armillaires de saule*), on peut les cueillir et s’alimenter par ceux-ci — copieusement, savoureusement et utilement! Il vaut mieux d’approvisionner des champignons ‘massifs’, lesquels poussent d'août au octobre, pour toute l'année — jusqu'aux prochains champignons!

Les champignons marinés (« salés », c'est-à-dire fermentés avec du sel) sont particulièrement utiles. Ils sont digérés beaucoup mieux que d'autres et normalisent la digestion parfaitement! Ils peuvent être considérés comme une nourriture curative, car ils fournissent le système digestif par des bactéries lactiques. Aussi dans les champignons il y a beaucoup des microéléments et vitamines. Outre cela, leurs protéines sont parfaitement digérées, notamment, des champignons salés ou bien ceux-ci marinés au vinaigre. L'acide est détruit leurs membranes cellulaires qui sont « difficiles » pour des enzymes digestives.

On peut stocker les champignons marinés dans les réservoirs métalliques et émaillés, même dans les appartements urbains. Une fois par semaine il faut seulement enlever le moisi formé sur la surface du liquide.

Quant aux baies! Les feuilles séchées de menthes, cassis, même de l'épilobe en épi! Il ne faut pas du tout acheter tout cela! Il est nécessaire de recueillir seulement, ne pas être trop paresseux! Même les aiguilles de pin ou de sapin sont une excellente source de vitamine C!

Un jour, mon vieil ami, une personne « de chambre », qui je n'ai pas vu depuis longtemps, était malade. C’était le printemps, nous avons recueilli et mangé avec plaisir de l’ortie jeune. Le plus délicieux, c'est de la couper et la jeter dans l'eau bouillante, ne pas la faire bouillir plus d'une minute, puis savourer avec de la mayonnaise! Ou bien avec la marinade aux champignons laissée après des marinés champignons mangés!

Donc, j'ai appelé cet ami et j’ai su à propos de sa maladie. Je lui ai dit:

« Alors, tu dois manger de l’ortie! Toute ta maladie te quitterait toute de suite! »

« C’est une bonne idée! Comment n'aurais-je pas pu y penser?! Je demanderais à quelqu'un de l’acheter! »

« Acheter?!… Où?! »

« Où peut-on la trouver? Certes, à la pharmacie! »

Je lui ai raconté que tout l'espace autour de la ville s'était couvert de l'ortie! On riait.

Ensuite je l’ai nourri de l’ortie fraîche. Ça lui a plu. Même très beaucoup!

… Quelques jours plus tard, je l'ai appelé pour une affaire. Il m’a dit qu'il avait été hors de la ville hier. J’ai plaisanté:

« Eh bien, sais-tu où l'ortie pousse?

« Oui?… Et où?… »

« Donc, tu as été hier dans l’endroit, où il y en avait beaucoup! »

« Mais je n'ai pas regardé sous mes pieds… »

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